Ce projet s’est attaqué à deux obstacles à la mobilité des étudiants accueillis par des établissements ayant pour obligation de desservir des régions rurales et éloignées : (a) les populations rurales et éloignées ont généralement des niveaux de revenu inférieurs à ceux des étudiants postsecondaires des régions métropolitaines; et (b) ces étudiants n’ont pas l’occasion d’être exposés aux activités typiques de la mondialisation, qui sont une caractéristique de la vie quotidienne dans les grandes villes. Ce projet y est parvenu en créant une occasion d’études de commerce international à l’étranger pour les étudiants à faible revenu, vivant dans des régions rurales et éloignées, dans le but de leur offrir des perspectives commerciales internationales qui n’existent pas chez eux.